Le vrai combat est pour la Tunisie et son histoire plurimillénaire et non contre les traîtres islamistes

Combattre l’organisation sectaire wahhabite d’Ennahdha et son bras armé salafiste n’est pas une fin en soi, ce serait lui faire trop d’honneur. »

Elle, dont le nom est synonyme d’immondicité humaine, d’antipatriotisme, de barbarie humaine, d’ignominie, de félonie, d’arabisme archaïque et ultraréactionnaire, de racisme, d’exclusion sociale, de bellicisme, de djihadisme, d’ultralibéralisme, féodalmisme, d’injustice, de violation aux droits de l’homme etdu citoyen, de théocratie despotique, de vassalisation de la Tunisie, de libertinage, d’asservissement, de marchandisation du corps de la femme, de pédophilie, de chaos social et juridique, du règne de la charia, et de terrorisme. C’est une maraudeuse dont il faut se débarrasser, elle braconne telle une officine de marcenaire pour le compte de ses commanditaires impérialo-wahhabites. Ce qui importe aujourfd’hui est le sens que les uns et les autres doivent donner à leur combat qui doit être celui pour les droits humains et la sauvegarde des valeurs républicaines et humaines. Jusqu’à maintenant, rarement des voix se sonnt élevées en faveur d’une République plurielle, juste, tolérante, fraternelle, égalitaire, citoyenne, garante des libertés, de toutes les libertés, des droits de l’homme et de la séparation absolue des pouvoirs. Depuis plus d’un an, la Tunisie est la parente dramatiquement pauvre du débat politique, stérile et contre-productif tunisien. La religion qui ne posait pas de problème auparavant, tant qu’elle se situe dans son champ de culte, est devenue le coeur du problème pour les Tunisiens. Si la religion est un modèle de développement économique, culturel, scientifique, technologique, social et humain pourquoi n’a-t-elle jamais fait ses preuves jusqu’alors. Aucun Prix Nobel de décerné à la religion à ce jour. Le seul qu’elle mérite est celui de l’osbcurantisme et de l’aliénation mentale des humains. Pourquoi avons-nous peur de faire le bilan ? Le vrai bilan sans passion, un bilan froid dont seuls les comptables ont le secret. La religion est un peu comme les emprunts toxiques on vend juste des obligations aux investisseurs aviides de gain sans valeur marchande réelle jusqu’au jour où ils s’aperçoivent qu’ils ont été bernés. Sauf que là, les investisseurs ont toujours la possibilité de passer ça en pertes et profits alors que la religion agit comme une masse engluante dans le cerveau des êtres humains dont on ne peut plus se désengluer. C’est pourquoi la Tunisie est engluée dans un débat qui est en train de se transformer d’abord en pugilat tel ce coup de boule asséné un jour par un soldat de Dieu, ou les spectales pogromesques et les autodafés anti-juifs, ensuite ce sera le Tsunami et la débande générale. Après la débâcle de la démocratie grâce aux apprentis sorciers locaux et à leur tête le bras électoral de ll’organisation mafieuse et terroriste d’Ennahdha, viendra inévitablement le tour de la descente inéluctable aux enfers, pas les dantesques ceux du Jugement Dernier.

Quitter la version mobile