Le modèle turc cher à Ennahdha est un virus mortel pour la Tunisie

Le modèle turc tant glorifié et mythifié par les félons islamistes de l’organisation terroriste d’Ennahdha est surtout un miroir aux alouettes et l’art de faire cohabiter la modernité avec le moyen âge.Un pays de disparitiés de richesses insolentes et d’inégalités endémiques entre les régions. A l’exemplarité tellement douteuse que les jeunes turcs rêvent tous plus que jamais de l’Eldorado européen et surtout de la Belgique. Tels des marchands ambulants de tapis synthétiques fabriqués dans les ateliers clandestins turcs à Bruxelles, les antipatriotes tunisiens sous la houlette de l’agent du terrorisme djihadiste R. Ghannouchi ne cessent de vanter les qualités cachées du modèle turc de l’islamiste Erdogan nostalgique du Califat Ottoman au nom est accolé au génocide arménien et à l’origine directe du Protectorat français en Tunisie. Depuis la polution du paysage tunisien par ces meutes de loups islamistes, la Turquie se trouve être en haut de l’affiche au même titre que l’Emirat-confetti du Qatar au point que le Gouvernement guignolesque de transition veut’introduire l’enseignement de la langue turque, prélude de la « revassalisation » de la Tunisie. Comme si les séides tunisiens veulent effacer d’un seul trait de plume tous les acquis du bourguibisme synonyme d’identité nationale, de patriotisme et de tunisification de la Tunisie. Ainsi, cherchent-ils à rendre aux anciens dominions du pays le pouvoir dont ils ont été évincés le 25 juillet 1957 avec la proclamation de la 1ère République tunisienne. C’est tout un symbole quand on connaît l’aversion pathologique des islamistes pour la République et pour Bourguiba dont ils seront ravis de profaner sa tombe et déterrer ses ossements pour les broyer si l’occasion leur est donnée comme ils viennent de saccager sa maison natale. Incontestablement, ce projet scélérat et antinational de l’enseignement la langue turque porte en lui tous les germes de la rupture avec les vrais acquis que Bourguiba et symptomatique de l’amorce du processus d’inféodation du pays dans le futur espace califien en gestation qui englobe tous les pays arabophones et l’Afrique subsaharienne de confession musulmane dont certaines zones regorgent de matières premières piloté par le Triumvirat turco-qatari-saoudien sous la l’égide de l’Oncle Sam mu par ses seuls intérêts géosécuritaires, géostratégiques et géoéconomiques. Nonobstant l’Iran très populaire au sein de l’opinion publique arabophone et le seul susceptible de contrarier la politique hégémonique américaine sur cette partie du monde. Ainsi, la Turquie fait office de tour pour défendre les intérêts du Roi Yankee dans cette partie de jeux d’échecs où l’éventuel adversaire est la population arabophone mise sous l’éteignoir de ses nouveaux oppresseurs islamistes à la solde de leurs commanditaires impérialistes américains. Fins connaisseurs de la psychologie des masses des pays arabophones, les Américains savent que la meilleure stratégie pour asseoir leur domination sur les musulmans est de se faire les meilleurs alliés de l’Islam surtout dans sa variante la plus radicale et la plus totalitaire et de se rallier ainsi les forces djihadistes obscurantistes avec l’appui le plus zélé du Triumvirat islamiste. Un Tiumvirat bicéphale, d’un coté les bailleurs de fonds wahhabites de Doha et de Djeddah et d’un autre le V.R.P. turc vitrine de cet islamisme conquérant, véritable fer de lance de la Realpolitic américaine pour les pays arabophones et au-delà. Aussi l’organisation sectaire et fasciste d’Ennahdha ne fait qu’exécuter la feuille de route que ses donneurs d’ordres lui ont fixées. Elle est dans son rôle d’agent de propagande du néo-impérialisme américain qui tisse sa toile étoilée sous couvert de ses affidés turcs, qataris et saoudiens. Si réellement l’organisation mafieuse et félonne d’Ennahdha avait le souci de la Tunisie, elle eût été mieux avisée de s’inspirer du vrai modèle turc pour la Tunisie qui est celui de sa Consitution laïque et non-musulmane et faire ainsi l’économie de cette mascarade de l’Assemblée Nationale Constituante aux côuts faramineux pour les contribuables tunisiens.

Le vrai modèle qui aurait pu convenir l’esprit de la farce révolutionnaire tunisienne et qui lui aurait certainement permis d’acquérir sa vraie légitimité politique. Il est évident que la succursale tunisienne de la nébuleuse islamiste mondialiste ne va pas pouvoir séduire les tunisiens avec les modèles soudanais, saoudiens, afghans, somaliens, en dehors de la vitrine turque, proche de surcroît de ce que fut la Tunisie d’avant le 14 janvier 2011. Les deux pays étaient classés en 2010 quasiment au même niveau selon l’indice du bonheur brut. En toute évidence, aux yeux des architectes du nouveau Califat la Tunisie constitue un enjeu de taille, une étape majeure dans la réussite de l’essaimage du modèle islamiste turc. Un modèle aux apprences trompeuses, celui de la violence faite aux femmes; En 2002: 66 assassinats, 2009: 953. Il n existe pas de données disponibles pour 2010. Augmentation de plus de 1400 % Parmi les causes retenues pour expliquer cela est le conservatisme religieux (l’islamisme) et le recul des droits de la femme telle que la remise en cause du droit à l’avortement et le droit du divorce à l’initiative de la femme. Pour s’en convaincre il suffit de comparer les courbes de l accroissement des inégalités entre les sexes et celle de la violence faite aux femmes pour constater la forte corrélation entre les deux. Je ne suis pas un rabat-joie au point de susciter l’ire et la calomnie de la part des laudateurs anti-tunisiens du modèle turc, seulement pour faire comprendre à certains qui s’inquiètent à juste titre que mon tableau ne correspond pas au leur, ils doivent comprendre que deux peintres qui peignent le même objet ou modèle, ne le peindront jamais de la même manière et ne restitueront pas les memes nuances, les mêmes couleurs ou les mêmes reliefs. Voire produire les mêmes effets sur le public. De quel miracle turc s’agit il de celui du commerce florissant des esclaves sexuels, la traîte des blanches précédés souvents d’enlèvements crapuleux ? Est-celui des enfants des rues ? 35 000 enfants âgés de 7 à 15 ans errent dans les rues d Istanbul et Ankara et qui sont autant de victimes potentielles des esclavagistes sexuels et des pervers de tous bords. Le miracle turc adulé et vénéré par les laquais islamistes est un mirage. Comme si le pays des eunuques est devenu comme par miracle une thérapie inédite pour l’agent du terrorisme djihadiste Ghannouchi Rachid pour se refaire une virginité. Lui qui devrait se couvir dans les draps de l’ndignité pour actes de terrorisme avéré ayant causé la mort d’ autrui. Tel que l’attentat de Bab Souika de 1984. Le miracle turc qui est une imposture plutôt, et en tant que tel il sert de subterfuge insidieux et pernicieux dont se servent les islamistes pour dissimuler leur vraie nature violente et pédophile et régressive. Ils usent et abusent de ce leurre pour berner et tromper la vigilance de leurs coreligionnaires épris de démocratie et de libertés. En droit civil, on qualifierait leurs manoeuvres de dol et de tromperie sur la marchandise destinéee à dissumilier le vice caché du produit au client. Mais dans le cas d espèce, cette manoeuvre peut avoir de lourdes conséquences sur la pérennité politique du client-électeur, des droits de la femme et de la protection des droits de l’enfance. Le modèle turc est ecelui de l’explosion de la prostitution et des femmes jettées dans la rue comme une denrée périssable. Si la Turquie était aussi attractive, qu’elle commence à l’être pour ses propres ressortisants qui envahissent les villes allemandes, belges et certains quartiers parisiens. Un modèle d’un autre temps, celui des crimes d’honneur. Un modèle effrayant pour les jeunes filles turques d »Allemagne qui détiennent un triste record en matière de suicide. Le modèle que vueut Ennahdha pour la Tunisie est celui des mariages forcés, de la corruption, de la mafia, et oppresseur des kurdes.

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