La vassalisation de la Tunisie bat son plein. Sa Troïka de godillots préfère la trahison à la patrie.La révolution tunisienne à défaut d’être une vraie révolution, elle n’en a ni la nature ni les attributs, a permis de révéler au grand jour le visage antipatriotique des islamistes tunisiens, ce qui est somme toute logique pour ceux qui connaissent leur sous-bassement idéologique, mais a démontré aussi que le centre-droit, à supposer qu’il le soit, constitué du CPR ce faux-nez d’Ennahdha et Etakkatol, drôle de nom qui sous-entend phonétiquement l’entre-tuerie, n’est pas non plus un parangon patriotique. Le vrai front qu’il faut créer en Tunisie est un front patriotique et républicain.
La Tunisie s’inscrit dans un processus de vassalisation de sa politique étrangère et de ses institutions politiques. Il est indigne d’un pays comme la Tunisie de se trouver arrimer à l’attelage qatari par la grâce de cette Troïka soucieuse des intérêts de ses commanditaires américains et wahhabites et certainement de la manne financière qui va tomber dans son escarcelle que de l’intérêt général. Acroire que la fibre religieuse dilue la fibre patriotique. La facture de Davos pour les frais de séjour royal des anciens repris de justice et membres de la pieuvre islamiste aurait soulagé et de beaucoup la souffrance d’une partie de la population tunisienne transie par le froid glacial qui est en train de mourir d’hypothermie par la grâce de Dieu. Chez les bigots, seul Dieu est maître de la vie de ses hommes. S’ils meurent de froid ce n’ est pas parce qu’on aurait pu prévenir cela, c’est parce que Dieu les a rappelés auprès de lui. Heureux le défunt qui meurt de froid et de faim Dieu va lui offrir au retour une vie de palace comme celle dont profitent les rats du caniveau islamiste aux frais du contribuable tunisien. La Tunisie est indépendante et souveraine. Elle n a pas à exécuter les ordres du Qatar et de son protecteur américain pour se couvrir de honte dans l’affaire syrienne.