La Tunisie à la croisée du destin: soit la guerre totale soit un chef d’orchestre providentiel

La voie des urnes est un placebo contre les cafards islamistes. »

Pour vaincre al Qaïda tunisienne en l’occurrence Ennahdha, il faut une guerre totale pour libérer le pays tombé sous son joug un jour du 23 octobre 2011 qui a scellé le sort de la démocratie en Tunisie. En l’état actuel des choses, il n’existe guère d’autre alternative pour sortir le pays du bourbier islamiste. Le bacille du choléra wahhabite propagé par les miliciens locaux est en train de faire des dégâts considérables sur la santé publique tunisienne. L’heure n’est plus à la tergiversation, il faut établir un cordon sanitaire pour enrayer sa progression avant de l’éradiquer définitivement du pays. Seule une mobilisation forte des forces vives du pays et un réveil national de grande ampleur peut arracher la Tunisie des griffes de ces terroristes. On ne peut les vaincre que par la force et un combat acharné. Lâches et poltrons, ils sont incapables d’affronter leur adversaire courageusement. Les urnes, c’est une aubaine pour eux pour continuer à exister en toute légalité après leur défaite à supposer qu’ils le soient. Pour les éliminer de la scène politique, il faut les écraser comme des cafards. On ne doit pas faire l’économie d’une guerre totale et sans merci contre la peste islamiste. Al Qaïda tunisienne ne doit pas disposer au grand maximum d’un vivier de plus de 200 000 militants. Ceux qui avaient voté pour l’instauration de la terreur islamiste en Tunisie l’ont fait par cupidité, mépris, ignorance, intimidation, crédulité, intérêt, vengeance comme le cas des 600 000 rcdistes qui ont voté pour elle. La Tunisie n’a pas le choix que de ressembler toutes ces troupes dont les exrcdistes pénitents et mener une guerre de libération nationale. Il ne s’agit plus d’un combat pour la dignité, le travail et la liberté, il s’agit d’un combat pour la survie d’un peuple et l’honneur d’un pays. La vraie pour l’indépendance nationale est imminente. Chaque jour qui passe ne fait qu’enliser la Tunisie dans une crise des plus aiguës dans son histoire depuis l’invasion génocidaire des Banu Hillal. Les urnes ne sont pas la voie pour pulvériser les cafards islamiques. C’est du placebo. Pour les éliminer définitivement, il faut les traiter à l’acide borique. Quelle que soit la méthode envisagée par les tunisiens pour se débarrasser des cafards islamiques, il faut un plan radical pour décafardiser le pays. Il faut un véritable plan d’action impliquant toutes les tendances politiques et les membres de la société civile soucieux de la pérennité de la mère-patrie tunisienne,. Ni ralliement, ni adhésion, seul prime un engagement patriotique inébranlable et sans faille. Ni querelles de chapelle, ni guerre d’egos. Une seule voix incarnant la Tunisie.

Peu importe le mouvement qui la porte s’il est blanc et rouge. S’il est reflet de toutes les sensibilités tunisiennes, traduisant cet esprit pluriel et humain de la Tunisie. Les tunisiens ont payé au prix fort leur dispersion et leur désunion. Ils se doivent par conséquent d’en tirer les conclusions qui s’imposent et en finir avec la cacophonie, à l’origine de tous les maux qui frappent le pays. Aujourd’hui, il ne s’agit plus de faire entendre sa propre voix et jouer sa propre partition. L’heure n’est pas au musicien solo et des candidatures de témoignage, il est impérieux d’intégrer le même orchestre et d’accorder ses violons et d’apprendre à jouer sous la direction d’un même chef d’orchestre. Peu importe l’identité du chef, tant qu’il possède les talents requis: précision, doigté, fermeté, charisme, discipline, patience, compétences pédagogiques, savoir, savoir-faire, savoir-être, disponible, dévoué, esprit d’équipe, expérience, réseaux relationnels tant national qu’international, assise populaire, énergique, tempérament trempé dans l’acier, inflexible, intransigeant, capable de servir de locomotive pour sa troupe, dynamique, communicant, cultivé, sens de la répartie, rassembleur, fédérateur. Un leader au sens weberien du terme, sachant créer une osmose et une adhésion générale autour de son projet, suscitant l’enthousiasme et les espoirs.

Jouer et faire jouer ses partenaires, un capitaine d’équipe, un joueur qui brille en faisant briller ses partenaires une sorte de Zidane, discret, sachant sonner la charge pour faire triompher ses couleurs tout en se fondant dans le moule du club. L’homme de l’intérêt commun. Un meneur et un dynamiteur pour faire flotter les couleurs de sa troupe au plus haut mât de la victoire. La Tunisie ne pas peut faire la fine bouche sur la troupe qui est la mieux placée pour défendre ses couleurs dans cette joute qui oppose les couleurs de la modernité et la souveraineté aux couleurs de l’obscurantisme et la suzeraineté. Il reste toutefois, un préalable que ce chef d’orchestre doit satisfaire: élimination définitive de la scène tunisienne des félons wahhabites et traduire tous leurs chefs et leurs complices de la Troïka devant la Cour martiale pour haute trahison et atteinte à la souveraineté nationale. Si cet homme providence dont seule Tunisie a le secret au plus fort de la tempête, il y a lieu de se mobiliser comme un seul homme autour de lui. Si c’est juste un combat de salon, autant prendre son destin en main dès maintenant et se procurer sans tarder l’acide borique pour purger le pays de ces cafards hideux, nuisibles et disgracieux. Le vrai combat que les tunisiens doivent mener est celui pour la patrie et la liberté contre la trahison et la vassalisation. De la dignité contre l’indignité. Du progrès contre la réaction. De l’Islam contre l’islamisme.

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