Ennahdha en tant qu’organisation fasciste, messianique, raciste et terroriste est de la lignée du N.S.D.A.P. nazi

Dans l’univers islamiste, la meilleure façon d’enterrer les droits de l’homme et du citoyen considéré comme un sacrilège en terre musulmane-on lui préfère le mot fidèle-est de nommer le génocidaire Omar Bachir ou l’un de ses comparses islamistes tel que l’agent de l’internationale terroriste R.Ghannouchi, Ministre des droits de l’homme et du Citoyen ainsi que celui du respect absolu de la vie humaine.Faire d’eux un symbole de la répression du l’ex despote c’est faire fi des vraies victimes de la répression policière sous Ben Ali tel que Hamma Hammami ou son épouse Radhia Nasraoui. Ennahdha dont le nom est synonyme en Tunisie de la terreur islamiste n’a jamais fait mystère de ses desseins bellicistes prônant la violence comme seul mode d’action politique pour instaurer un Etat théocratique en Tunisie. La doter des vertus pacifistes aujourd’hui pour l’innocenter de ses crimes passés à l’instar de l’ancien repris de justice A. Juppé afin de la rendre fréquentable, c’est comme si l’on faisait des escadrons de la mort au Brésil une figure héroïque de la résistance au temps de la junte militaire ou enjoliver l’histoire criminelle des tontons macoutes haïtiens en leur donnant l’aspect d’un mouvement caritatif.

Il n’y a pas pire crime que de nier la réalité des faits et de tenter d’absoudre les criminels de leurs crimes. La pire hérésie est moins les atteintes au sacré, mais tenter de justifier l’injustifiable ou de chercher à faire croire que la violence terroriste d’Ennahdha était moins de son fait et qu’il y était contrainte et forcée et qu’au fond elle n’y est pour rien dans ses crimes et délits. Tout se passe comme si Ben Ali l’avait instrumentalisée contre sa volonté, ou manipulée à l’insu de son plein gré. Elle se trouve elle-même victime plus que les vraies victimes de ses attentats qui contre toute attente sont responsables de leurs propres morts ou de leurs blessures qu’elles se sont infligées elles-mêmes dont elles portent les stigmates à vie. Perfides, manipulateurs et psychotiques, les islamistes et leurs partisans ont l’art de nier les évidences se posant toujours dans une posture de victimisation. Un piège fatal dans lequel est tombée l’opinion publique tunisienne qui les a réhabilités sans aucune autre forme de procès. Ainsi, elle fait-elle passer les cavaliers noirs de l’Apocalypse pour des victimes du despote déchu, gommant d’un seul trait tous les attentats terroristes commis par Ennahdha. Alors qu’il s’agit d’une imposture, et leurs condamnations étaient juridiquement fondées. Les tunisiens sans le vouloir, ont blanchi Ennhahda et pour se déculpabiliser ont fait d’elle aujourd’hui la figure de proue de leur pays celle qui va les mener tout droit dans les limbes de l’histoire. Les tunisiens en donnant leur absolution à des terroristes ont se sont rendus coupables de crime révisionniste et ont offensé la mémoire de leurs victimes tunisiennes et allemandes, 1986, 1987, 1991 et toutes ces femmes vitriolées dans les rues tunisiennes. C’est aussi occulter l’attentat à la bombe de 1986 en France.

L’organisation mafieuse d’Ennahdha s’est rendue coupable d’au moins une douzaine d’attentats terroristes de 1986 à 1991. Avec un tel palmarès à son actif, elle mérite de figurer sur la liste noire des mouvements terroristes. Comme c’est le cas au Canada. Toute comparaison avec des mouvements patriotiques symboles de lutte contre l’occupation de leurs pays est inopportune, infamante et infondée. En effet, aussi bien cette organisation fasciste se plait à la comparer à l’A.N.C qui est un modèle de lutte contre la barbarie raciale. Ou avec le P.C.F. parti des fusillés et figure de la résistance contre la barbarie nazie comme le tend à le faire le pseudo spécialiste de l’islamisme G. Kepel. Ennahdha est une organisation fasciste et terroriste. Elle n’est ni l’A.N.C., ni le P.C.F., partis de la dignité humaine pour l’un et parti de de la solidarité ouvrière pour l’autre, un héros de la résistance aux aïeux idéologiques des islamistes payant un lourd tribut pour la défense de la mère-patrie. ne se sont jamais rendus coupables de crimes terroristes contre leurs peuples préludes de crimes contre l’humanité. Réhabiliter les islamistes, c’est se faire complice de leurs crimes terroristes en Tunisie comme partout ailleurs dans le monde. Vouloir imposer un système de pensée par la violence meurtrière cela s’appelle du terrorisme. Chercher à le minimiser c’est se faire complice d’actes terroristes. Aussi, toute comparaison avec les mouvements patriotiques quand bien même internationaliste mais pacifique est un crime contre la conscience universelle.

Les islamistes tunisiens doivent être comparés aux nazis adulés par les Frères musulmans égyptiens dans les années 30 et dont l’organisation fasciste tunisienne en est le pur produit. Ennahdha en devenant le fer de lance de la vie politique tunisienne a des fortes chances de voir son nom associé dans l’histoire de la Tunisie aux pogroms et des futures Nuits de Cristal et de Longs Couteaux. Ennahdha n’échappera pas à son destin nazi, les doutes ne sont pas permis au regard de la personnalité mégalomaniaque, psychotique, sulfureuse et criminogène de son Gourou R. Ghanouchi qui se rêve en A. Hitler islamique en miniature (un sous-Calife aux ordres du vrai Calife qatarien).

Belhajiste invétéré, il avait rédigé la plateforme de la terreur islamique qui avait frappé l’Algérie pendant deux décennies: 300 000 morts, des centaines de milliers de blessées, des dizaines de milliers de femmes violées et tuées, le traumatisme de tout un peuple. Outre son coût financier avoisinant les 30 milliards de dollars. La Tunisie doit tirer la leçon de l’amère expérience algérienne. Les islamistes sont des renégats. Sans foi ni loi. Ils sont des charognards, barbares, nécrophages, profanateurs de cimetières, sataniques, cyniques, haineux, fourbes, couards, félons, perfides et cruels. Ils ne reculent devant rien pour satifaire leur soif insatiable de pouvoir. Ils sèment la mort et déterrent les cadavres pour leur infliger une nouvelle mort comme le faisait en son temps un de leurs tristes aïeux le sanguinaire Hajaj Ibn Youssef. Ennahdha à défaut de sonner le grand réveil musulman, qui est un pur fantasme, est en train de faire renaître la bête immonde nazie.

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