- Un illustre inconnu, un être venu d’ailleurs, hors-sol et hors-temps, qui a menti sur son grade d’enseignant devient président pour sa supposée honnêteté.
- Un terroriste notoire, ex ami de Ben Laden, tête pensante du terrorisme islamiste, organisateur des filières terroristes pour l’Irak, la Libye et la Syrie, et l’homme le plus corrompu et le plus félon de toute l’histoire de la Tunisie devient président de l’assemblée du peuple.
- Un illettré devient ministre de l’éducation nationale et c’est vrai.
- Un ex-étudiant raté en médecine et repris de justice pour tentative de meurtre incapable d’aligner deux mots de suite en français devient ministre de la santé.
- Un ex-voyou de quartier, condamné à deux ans de prison ferme pour outrage et violence sur des dépositaires de la sécurité publique devient élu du peuple et avocat de terroristes sans les pré requis.
- Un quasi analphabète prétend être diplômé de l’Ecole des Mines de Douai en énergie éolienne en 1972, un pur mensonge, est devenu Premier ministre du pays.
- Un mafieux notoire à la tête de plusieurs réseaux de contrebande devient élu du peuple.
- Un individu mis en cause dans une affaire d’exhibitionnisme sexuel devient élu du peuple.
- Un élu mis en cause dans plusieurs affaires de corruption nommé à la tête de la commission parlementaire de lutte contre la corruption.
- Un ministre pris la main dans le sac dans une affaire de délit de favoritisme avec violation du code des marchés publics confirmé dans ses fonctions.
- Un imam qui appelle à la lapidation des femmes et à la mort des Juifs est élu du peuple.
- Un ex ministre de l’éducation nationale mort depuis s’était octroyé le titre de docteur en mathématiques et s’était promu professeur d’université avec effet rétroactif en signant lui-même le décret de sa nomination et le rappel de salaires auquel il aurait dû avoir le droit depuis 20 ans s’il n’avait pas connu la prison sous le régime de Ben Ali. Il avait été pourtant condamné pour des faits avérés de terrorisme.
En Tunisie islamiste tous les miracles sont permis
La Tunisie islamiste