Avec son projet d’ouverture des frontières tunisiennes aux Djihado-terroristes, Moncef Marzouki veut carboniser la Tunisie

Décidément le bouffon Moncef Marzouki, agent qatarien notoire, vénal, fils de goumier, assoiffé de revanche, traître pathologique, obsédé par sa haine de la Tunisie, n’en démord pas de son projet d’ouverture des frontières nationales aux djihado-terroristes en mal d’impunité juridique et d’un sanctuaire où ils pourraient donner libre-cours à leurs pulsions meurtrières. En effet, il vient de nouveau d’appeler publiquement à transformer le pays de Bourguiba en terre d’accueil pour tous les terroristes musulmans du monde entier en les dotant des mêmes droits que les nationaux tunisiens.

Comme s’il cherchait à constituer sa propre clientèle électorale totalement acquise à sa cause et celle de ses sbires de la Troïka. Un projet qui n’est pas sans rappeler celui du Colonel Khadhafi qui avait octroyé généreusement la citoyenneté libyenne aux noirs africains afin de se donner une assise populaire qui lui faisait défaut d’une part et d’autre part sécuriser son pouvoir par la création de sa propre garde prétorienne. Le président de pacotille se rêve déjà en Empereur romain et veut avoir ainsi une espèce propre garde rapprochée prête à intervenir militairement en cas de menaces sur son régime, plus apparentée à une cinquième colonne.

Moncef Marzouki n’est pas pas plus fou qu’il en a l’air, il se fait passer pour tel pour abuser de la crédulité des foules. C’est un retors et manipulateur-né; pervers-narcissique, calculateur et prestidigitateur, habile manoeuvrier, il a plus d’un tour dans son sac pour arriver à ses fins mégalomaniaques et satisfaire ses velléités de pouvoir.

Dépourvu de toute morale politique, sans foi ni loi, nourri au biberon de la félonie paternelle, ayant vendu son âme tourmentée aux qatariens, il ne reculera devant rien pour le garder et le pérenniser. En dignes héritiers de Duvalier et de Mengele, médecins comme lui, il est capable de plonger la Tunisie dans un bain de sang pour s’y maintenir.

Apprenti-dictateur, il considère que ce n’est pas aux tunisiens de lui imposer leur volonté mais c’est à lui en sa qualité de détenteur de pouvoir leur imposer la sienne par le subterfuge de l’ouverture des frontières nationales aux islamo-terroristes.

Conscient qu’il est le président le plus haï dans l’histoire universelle avec un niveau record absolu d’impopularité, 100% de tunisiens ou presque ne lui font aucune confiance, plutôt que de travailler à l’amélioration de son image à commencer par la restitution du pouvoir au peuple ce qui pourrait lui laisser la porte ouverte pour les prochaines échéances, il veut créer ses propres tunisiens par la naturalisation massive des djihado-terroristes. Si le peuple ne vient pas vers moi, je me crée mon propre peuple, telle est en substance son approche criminelle du pouvoir.

Se voulant capitaine d’un navire dont le sort est étroitement lié à celui de son équipage où la survie de l’un dépend de la survie de l’autre et vice-versa, il élabore des scénarios des plus machiavéliques pour atteindre ses objectifs qui consistent à recruter une armée de mercenaires sous ses seuls ordres qui lui est entièrement dévouée et fidèle bénéficiant de tous les privilèges, au-dessus des lois et agissant comme une force d’intimidation et de répression selon les besoins.

Il se voit déjà dans la peau du futur Néron tunisien qui n’en a cure des problèmes sécuritaires qu’un tel projet suscite. Il n’est obnubilé par une seule idée: garder ce qu’il considère comme son bien de droit absolu. Il en toujours rêvé, aujourd’hui, il est prêt.à tout pour le conserver. Sa forte détermination est telle qu’il est capable de transformer la Tunisie en amas de cendres et irriguer son sol du sang des innocents.

Ne comptez surtout pas sur les urnes, sauf celles des cendres des tunisiens tombés sur le champ de bataille, pour le déloger. Si jamais, il y aura un scrutin, l’issue ne fera pas de doute, il sera élu avec avec un score stalinien grâce à ses nouveaux tunisiens qui sauront employer les bons arguments pour infléchir le cours du vote en sa faveur.

Surtout avec l’arrivée massive des renforts mauritaniens et les fraîchement naturalisés mauritaniens tels que les maliens, sénégalais, guinéens, nigérien, burkinabés et les vétérans de la campagne terroriste en Syrie marocains, saoudiens, tchétchènes, libyens, jordaniens, occidentaux et algériens, il va assurément pouvoir disposer d’une force de frappe hors norme.

Ouvrir les frontières tunisiennes et naturaliser toutes ces cohortes sinistres et morbides est bien le vrai visage de la révolution burlesque et guignolesque tunisienne.

Vous avez parlé d’acquis, moi je vous parle d’infamie et de barbarie. Vous avez parlé de révolution, moi je vous dis réislamisation. Vous avez parlé de dignité, moi je vous parle de fraternité islamiste. Vous avez parlé de démocratie, je vous ai parlé du processus nazislamiste dans lequel s’est engagé la Tunisie sous la houlette de la Troïka de la honte nationale. Vous avez parlé de souveraineté nationale, moi je vous parle de vassalisation de la Tunisie. Vous avez parlé de citoyenneté, moi je vous parle de la mise à mort programmée de la Tunisie. Vous avez parlé du rêve républicain, moi je vous parle du cauchemar oummien.

N’est tunisien désormais que celui qui est islamisé et marqué du sceau du sacré, pourtant n’est saoudien que celui qui a du sang saoudien dans les veines. Les saoudiens propagateurs du virus islamiste sont les premiers à s’en immuniser

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